Le marché québécois des marchandises de la mode est estimé à supplémentaire de 5,5 milliards de dollars si on exclue les ventes brutes des grandes surfaces qui occupent un composant importante de ce marché. Si on fournit, les grandes surfaces, le chiffre d'affaires augmente à près de 9 milliards de dollars. Globalement, bien que les grandes chaînes sembler dominer l'business du commerce sur le élément, elles représentent que la moitié du industrie. Les hochets en forme d'chalet sont des choses communs à tous les groupes de la côte nord-ouest et sont généralement associés au chamanisme. La principale figure représentée sur les hochets est la plupart du temps le Corbeau, qui porte le soleil dans son bec. Les grands événements et les commémorations publiques sont aussi au service de la consommation. Les grandes expositions industrielles, les visites princières et les événements marquant le cinquantième puis le soixantième anniversaire de l'accession sur le trône de la reine Victoria suscitent la fabrication d'une imposante gamme d'gadgets commémoratifs. Pour le public, la consommation devient une technique de plus de participer aux festivités et de les garder en mémoire. Les sacoches à projectiles et les cornes à poudre, dans lesquelles on mettait la poudre des fusils à chargement par la bouche, avaient été des pièces importants du matériel transporté par les hommes autochtones et européens sur le 18e siècle. Les cornes à poudre étaient typiquement embellies par des courroies joliment décorées par les femmes autochtones. Traditionnellement, les Inuits portaient une lourde frange décorative fixée dans le bas de leurs vêtements d'extérieur en pores et peau de phoque. La frange avait une réaliser utilitaire car le fardeau des pendentifs permettait de lester le vêtement, empêchant ainsi les pans de se retrousser et gardant la personne sur le chaleur. Les autochtones utilisaient des mokuks pour le rangement et pour la gourmandises. Les mokuks sont des contenants d'écorce de bouleau fabriqués essentiellement par les Ojibwa de le royaume des Grands Lacs. Si les hommes rapportent les matières premières, ce sont les femmes qui fabriquent les objets. Ce sont les missionnaires, actifs dans l'est du Canada dès le début du 17e siècle, qui ont présenté les crucifix aux autochtones. Il est possible que les pendentifs aient également eu une fonction spirituelle. Dans les années 1960, l'anthropologue Bernard Saladin d'Anglure a interviewé des Aînés inuits sur le matériel des pratiques religieuses traditionnelles précédent leur conversion au christianisme. Ils lui ont défini que les gens âgées portaient typiquement des amulettes ou des figurines en guise de protection contre les esprits malveillants. Selon d'autres sources, les chamans portaient une autre frange décorative à travers le visage. Il se teint aisément en le trempant dans l'eau chaude additionnée de végétaux, racines, fleurs ou fruits, suivant la couleur désirée. Les extrémités des piquants avaient été insérées dans des feuilles d'écorce de bouleau préalablement poinçonnées puis façonnées selon la forme désirée. Aux 17e et 18e siècles, les Français envoient des missionnaires en territoire mi'kmaq et malécite. Cette alène est analogue à celles que fabriquaient les gars de la nation yup'ik dans le sud-ouest de l'Alaska. Ils prenaient grand plaisir à représenter des créatures mythologiques tout comme le phoque, le poisson et la créature ressemblant à une belette qui figurent sur cette alène-ci. Dans les années 1780, les Russes ont établi fermer du détroit de Béring un poste de traite où les négociants chukchi et inuits se rendaient chaque année.